9 octobre 2012
Rosalie,
Tandis
que le ciel d'automne assombrit les heures sans feu des coeurs solitaires, que
ses humeurs froides creusent un peu plus les existences lasses, je m'enivre de
te voir passer, toi l'astre énigmatique de mes pensées secrètes, telle une
ombre furtive, insaisissable, fuyante, mystérieuse.
Insensible
aux tempêtes de la saison, aussi loin de moi que tu puisses être, je poursuis
mon rêve d'amour.
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