26
octobre 2013
Rosalie,
Ton regard qui me pénètre me glace et me brûle.
Là où tu passes, viens et reviens, montes et descends, je glisse
en silence, furtif comme un chat, tantôt les yeux en l'air, tantôt le front
baissé.
Rosalie, je suis là et tu le sais, et tu sais que je sais.
Je perçois tes invisibles messages, je les reçois comme des
pierres en plein coeur.
Ton regard qui me sonde me brise et me réchauffe.
Je t'écris la nuit et tu rêves d'amour. Je te vois le jour et tu
parles à un fantôme. Je viens vers toi et tu pars.
Ton regard qui m'atteint me foudroie et m'éclaire.
Je t'aime Rosalie.
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